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REVIEW SANS SPOILER: The Walking Dead, la septième saison

Am, stram, gram, ...

Ce fut avec un coup fracassant que la série la plus regardée aux Etats-Unis, The Walking Dead, adaptée du comics du même nom publié chez Image Comics, avait terminé sa sixième saison il y a un an, laissant les fans de la série la bouche béante, la voix haletante et surtout avec ces six mots sur la langue : “Je vais devoir attendre six mois ?”.

C’est donc avec une des plus hautes attentes depuis le début de la série que The Walking Dead débutait sa septième saison en octobre dernier et une chose est sûre : cet épisode restera dans les annales comme un des plus violents jamais vus à la télévision. Je ne vous raconterai pas ce qui s’y passe, car ce ne serait pas respecter mon titre ci-dessus. Cela va donc être extrêmement difficile d’établir une review SANS SPOILER de cette septième saison mais, comme le dit si bien Barney Stinson dans How I Met Your Mother : Challenge accepted !

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En bien des points, l’évolution de l’intrigue de cette septième saison est semblable à celle des précédentes. Bah oui on ne change pas une équipe qui gagne (ou bien devrait-on ?). Avec des épisodes marquants aux premières et finale de saison et de mi-saison, soit seulement 4 épisodes sur 16, la série continue à combler les blancs entre ces épisodes avec une lenteur que les producteurs aiment nommer build-up, prouvant chaque semaine la sadicité de ces derniers envers leurs fans assidus.

Bien sûr, cette lenteur voulue a aussi pour but de creuser les caractères des personnages et pour conséquence qu’on s’attache indéniablement à eux. Les pertes tragiques (pas de spoiler, si vous suivez la série, vous savez qu’il y en a chaque saison) ont ainsi encore plus d’impact sur l’histoire.

L’histoire a le mérite d’innover dans cette septième saison. Fini le Rick sûr de lui, car c’est au fond du trou et aux pieds de Negan (littéralement) qu’on le retrouve en début de saison. A ce propos, un gros big up à Andrew Lincoln (Rick) et Jeffrey Dean Morgan (Negan), qui éblouissent à chaque passage à l’écran.

Enfin, rien de neuf ici, mais la série est toujours à féliciter pour son maquillage, avec des zombies de plus en plus dégueulasses (dans le bon sens du terme). Et, en grand fan de ce dernier, je ne pouvais pas omettre la musique, composée par Bear McCreary, qui transcende une nouvelle fois chaque scène et prouve qu’il sait absolument composer de tout.

En résumé, la saison 7 de The Walking Dead n’apporte rien de neuf dans ses points positifs ni dans l’évolution de son intrigue, mais on retrouve une belle innovation de cette dernière, qui nous donne encore plus envie de regarder la saison 8.

 

The Walking Dead revient l’automne prochain pour sa huitième saison.

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